Le fantastique semble constituer un genre mineur et à part dans la littérature. D'abord par le format : il y a peu d'œuvre fantastique volumineuse et formant en même temps une unité. Il a peu, à la lettre, de grands romans fantastique – même si l'on pense à Bram Stoker ou à Stephen King. Les sagas et les récits légendaires, qu'ils soient mythologiques ou contemporains, appartiennent plutôt au registre du merveilleux. Le fantastique paraît plus adapté à la nouvelle ou au conte, comme s'il était par essence voué à la simple évocation dans la brièveté.
La pensée du corps
L’objectif de ce cours est de poser et d'approfondir un problème philosophique : celui des rapports entre l' « âme » et le « corps ». Nous utilisons des guillemets, car ces deux termes ont des significations relativement flottantes, sédimentées aussi bien dans la langue commune que dans le vocabulaire religieux – sans parler de tous les sens qu'ils prennent dans la langue philosophique.
Philosophie et religion
Le but de ses séances est de chercher à définir les rapports entre philosophie et religion – ou, plus précisément, de dégager ce que les relations entre philosophie et religion ont de problématique. Nous restreindrons notre question en nous limitant au strict de point de vue de la philosophie : il s'agira de savoir comment la philosophie investit, pense et définit cet étrange objet qu'est pour elle la religion.